Quand on évoque les véhicules propres, nous pouvons citer les véhicules décarbonés. C’est un type de véhicule qui est conçu pour émettre le moins possible voire même pas du tout de molécules de CO2. On y dénombre les véhicules entièrement électriques, les voitures hybrides rechargeables, et les véhicules thermiques avancés qui roulent à l’hydrogène. Toutefois la mobilité décarbonée reste encore sujet à des débats dans la mesure où la construction des véhicules décarbonés se fait en émettant du CO2. Mais cela n’empêche pas le désir affiché des pays qui ont adopté la mobilité décarbonée de réduire le taux de gaz à effet de serre émis par leurs citoyens.
Il existe plusieurs lois en France qui encouragent à s’équiper avec des voitures propres émettant le moins possible d’émission de CO2, et une incitation très connue, le bonus malus.
La mobilité décarbonée se démocratise grâce aux dernières avancées technologiques la rendant plus accessible, et certains experts à l'image du krakif affirment qu’elle pourrait bien représenter près de 20 % du parc automobile en France d’ici 2025.
Les polluants sont généralement considérés comme un problème local, urbain ou régional. D'autres émissions ont un effet global. Le dioxyde de carbone (CO2) est produit par la combustion de combustibles fossiles. Dans les concentrations que l'on trouve généralement en milieux urbain et rural, il n'a pas d'effets connus sur la santé. Le CO2 est appelé "gaz à effet de serre" parce qu'il est l'un des produits chimiques contenus dans l'atmosphère qui contribue à l'effet de serre responsable du réchauffement de la planète.
Certaines autres émissions dues aux transports - le méthane, l'oxyde d'azote (N2O) et les éléments réfrigérants de l'air conditionné des véhicules - sont aussi des gaz à effet de serre. Ces gaz ont un effet potentiel beaucoup plus important sur les changements climatiques par concentration d'unité que le CO2, bien que leur concentration dans l'atmosphère soit moindre.
Les véhicules apparaissent comme une source modeste de méthane et de N2O. La fuite des liquides d'air conditionné des véhicules (autrefois appelés CFC et aujourd'hui interdits pour avoir contribué aux "trous" dans la couche polaire d'ozone) et de leurs substituts sont aussi d'importants gaz à effet de serre. L'utilisation des CFC est interdite par le Protocole de Montréal, bien qu'il en soit sans doute encore relâché dans l'atmosphère. Selon ce site, les HFC, qui ont remplacé les CFC dans les appareils à air conditionné des véhicules, ont une vie plus courte dans l'atmosphère, bien qu'ayant encore des répercussions sur l'équilibre thermique de la terre.
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